Bomer Van Der Woodsen
« Savoir qu'on n'a plus rien à espérer n'empêche pas de continuer à attendre. »
© créditsby me
♢ ♢ ♢

PRÉNOM NOM Bomer Van Der Woodsen ÂGE 31 ans . SIGNE ASTROLOGIQUE Poisson. LIEU DE NAISSANCE New York. ORIGINES | NATIONALITÉ Américain . STATUT CIVIL Veuf. SITUATION FINANCIÈRE Classe Moyenne. EMPLOI | ÉTUDES Inspecteur de police ORIENTATION SEXUELLE Hétéro. J'AIME la pizza, la bière, le scotch, les gens intègres. J'AIME PAS Les légumes, le miel, les gens malhonnêtes TRAITS DE CARACTÈRE Bosseur, franc, perspicace, ordonné, protecteur, généreux, rancunier, direct, impulsif, arrogant, excessif. GROUPE ÎLE FLOTTANTE

I ★ Use the same old lies.
01. Quelle est ta réaction lorsqu'un représentant sonne à ta porte pour te vendre un aspirateur ? Venir m'importuner pour me vendre un truc, alors que je tente de me reposer après une journée de boulot des plus éreintante, ne constitue pas l'idée du siècle loin de là. Étant donné que je n'apprécie pas trop ce genre de visite impromptue probablement que je me laisserais aller à me montrer désagréable à son endroit et – afin de l'intimider un brin – je lui demanderais de me montrer son permis de vendeur itinérant tout en lui montrant mon badge du service de police … après tout je ne vais tout de même pas me priver de ce plaisir de faire flipper un merdeux dans son genre. Et puis la légalité de son document ne faisant plus le moindre doute je le laisserais passer l'aspirateur afin de me faire une petite démo – ainsi je n'aurai pas à le faire – et avant de le foutre à la porte je me laisserais aller à lui dire que si jamais je veux me procurer un aspirateur je le ferai en me rendant au centre commercial. 02. Tu es à la caisse du supermarché, quand une mamie au cadi plein veut te passer devant. Tu refuses, mais elle commence à insister, tu fais quoi ? Non mais dans quel monde de fous vivons nous? Ces vieux débris fossilisés sont ils issu d'une société complètement déconnecté de la réalité? Non mais c'est quoi se délire? La vieille peau toute défraîchie dispose de toute une journée pour faire ses courses et elle décide de venir les faire exactement au moment ou je les fais … cela ne peut qu'être un complot à mon encontre. La regardant je lui bloquerait le chemin, hors de question qu'elle passe, de toute façon elle est le passé et moi l'avenir … d'ici 10 ans elle sera morte et moi bien en chair donc elle va patienter la vieille mocheté ambulante et puis de toute façon je suis un actif pour la société et elle une dépense plus qu'inutile … elle ne serait plus de ce monde et on ne s'en porterait que bien mieux. Allez en arrière la vieille folle et fait pas chier faut que j'aille bosser si tu veux recevoir ton chèque de pension versé par l'état.  03. Tu trouves un petit chien dans ton jardin, tu le gardes ? Je mettrais tout en œuvre afin de retrouver son propriétaire, dans la mesure ou les renseignements inscrits sur sa médaille sont de mesure à me mettre sur sa piste, bien sur si tel n'était pas le cas je tenterais alors de placarder les poteaux du quartier avec des affiches du chien afin que son propriétaire se manifeste … ce n'est qu'en tout dernier recours que je me résoudrais à le remettre à la société protectrice des animaux.  Je vous vois venir … vous devez sûrement vous dire '' Non mais abrutis pourquoi tu ne le gardes pas?'' pourtant ce ne serait pas l'envie de le garder qui me manquerait mais compte tenu de mon emploi du temps et de mon allergie à l'endroit de ces petites bêtes poilues je ne pourrais qu'être un bien mauvais maître alors aussi bien lui en trouver un qui soit en mesure de se montrer à la hauteur.

Depuis que je suis tout petit j'ai toujours été animé d'un esprit des plus belliqueux, j'ai toujours kiffé la bagarre si bien qu'il ne se trouvait que bien peu de parents voulant me laisser faire mumuse avec leur progéniture, les gamins du voisinage n'étaient pas fait très fort … 2 ou 3 petites claques et déjà ça se mettait à pleurnicher sous les jupes de leurs maman … j'aimais bien moi aussi trouver refuge sous les jupes de leurs mamans mais croyez-moi c'était pas pour pleurer. Cet aspect de ma personnalité m'a suivi et – d'une certaine façon – m'a plutôt bien servi en tant que flic puisque par moment se faire frapper fort peut finir par emmener un suspect à causer comme un lapin.

Selon certains je serais un homme plus que courageux alors que pour d'autres je serais avant tout un bel exemple de témérité, il faut dire que mes tendances suicidaires des derniers mois ne peut qu'apporter de l'eau au moulin de ceux qui croient dur comme fer en cette théorie.

À force de fourrer mon nez – à défaut d'autre chose – là ou je ne devrais pas il est normal que je m'attire les foudres de certaines personnes et ces quelques blessures , parsemant mon dos et mon torse, vestige des projectiles m'ayant atteint au cours des dernières années ne peut que témoigner de la façon dont je me dédie à mon travail et ce peu en importe les conséquences.

La solitude étant devenue , par la force des choses, ma meilleure amie et les regrets, l'amertume ainsi que les remords s'étant semble-t-il passer le mot afin de pourchasser de leurs terribles tourments le tout n'est donc aucunement étranger au fait que je finis par renouer avec ce vieux démon qu'est l'alcool. Bien que j'avais réussi à m'en affranchir voilà que je ne sus résister à cette folle tentation d'assouvir cette soif qui ne demandait qu'à se voir étancher.

N'ayant toujours eu qu'une confiance partielle et limité en les gens qui m'entourent j'avais fini par lâcher du lest et baisser ma garde mais rapidement j'en vins à réaliser que les gens sont faux et que bien des gens en qui vous croyez pouvoir avoir confiance ne sont en réalité que des enfoirés de la pire espèce prêt à vous planter un poignard à la première occasion. Tel un chat échaudé craignant l'eau froide j'en suis venu à m'enfermer – de nouveau – dans ce mutisme que je n'aurais jamais du quitter. Désormais pour gagner ma confiance il faut montrer patte blanche, préparez-vous à galérer.
II ★ Smells like teen spirit.

 New York le 8 mars 1983 , c'est lors de ce qu'il convient d'appeler la journée internationale de la femme que votre humble serviteur en vint à voir le jour pour la toute première fois et bien qu'elle ne s'en doutait pas – du moins à ce moment – ma mère venait de donner naissance au roi des enculés. Rapidement je ne tardai pas à exprimer mon mauvais caractère, dès l'âge de 5 ans je me battais avec les mômes de mon quartier si bien qu'aucun parent ne voulait laisser le fruit de sa progéniture jouer avec moi … il faut dire que de balancer des droites sur le nez faisait partie de ma conception de l'amusement. Il ne me fallu que quelques années afin de me faire une réputation peu enviable, soit celle d'un mec dont le fort penchant pour la bagarre et dont le langage – par moment – ordurier ne pouvait qu'en faire un individu peu fréquentable … ajoutez à ceci le fait que je n'aimais pas trop la compagnie des gens et le fait que je n'appréciais pas que l'on me dise quoi faire et vous obtenez une bonne vision du jeune homme que je pouvais être.

Les études et moi ne faisions pas bon ménage et puis il y a le fait que personne ne semblait réellement s'intéresser à moi, ce qui ne peut que se comprendre aisément au vu de mon caractère pour le moins particulier. Et puis tout commença à changer vers les dernières années de lycée … en effet on m'avait fait intégrer l'équipe de football américain en tant qu'ailier défensif et rapidement je compris que je pouvais utiliser ce sport afin d'envoyer des mecs à l’hôpital en toute légalité … c'était le rêve. À partir de ce moment Bomer la brute, c'est comme ça qu'on m'appelait, semblait être devenu un des préférés du campus mais je savais que cet engouement me concernant ne pouvait qu'être des plus superficiels car après tout avant de faire partie de l'équipe j'étais invisible mais maintenant que j'étais celui qui protégeait leurs petits culs j'étais un des leurs. C'était là un club dont je ne voulais pas faire partie, après tout si je m'évertuais à envoyer tout ces mecs à l’hôpital c'est bien parce que cela me bottait. 

Vers la fin de mes études je reçu une offre de bourse afin de joindre l'université de Californie, ils me désiraient sur leur équipe de foot mais mon passage au sein de cette équipe s'avéra de bien courte durée puisque je finis par goûter à ma propre médecine lorsque je me fis démolir le genoux. Il me fallu presque un an de physiothérapie afin de m'en remettre. Évidemment à mon retour il était hors de question que je reprenne ma place au sein de l'équipe, j'avais fini par réaliser qu'en fait on se foutait bien de moi. Je pris donc un moment de réflexion et c'est en discutant avec Robert le père de la fille que je fréquentais -Oxanna – que je finis par réaliser que l'idée de venir flic ne serait pas conne … j'entrepris donc de joindre l'académie de police et c'est vers l'âge de 23 ans que j'en fus diplômé.

Mon diplôme fraîchement obtenu je quittai Los Angeles avec Oxanna afin de revenir m'installer à la maison à New York puisqu'un emploi m'y attendait au sein de leur service de police. Bien sur à mon arrivé je dus – comme tout le monde – faire mes preuves en tant que simple agent mais rapidement grâce à mon tempérament pour le moins fougueux et audacieux on me proposa de passer le concours afin de devenir inspecteur. À l'âge de 25 ans j'étais donc le plus heureux des hommes, je venais d'être promu inspecteur et la femme que j'allais épouser sous peu était enceinte. Que demander de plus?

À ce moment mon monde parfait était sur le point de s'écrouler, bien que je ne m'en doutais pas encore, vous voyez j'ai fait l'erreur d'enquêter sur un dossier plutôt chaud et d'en parler à mon co équipider sans me douter qu'il était du mauvais côté. Lorsque la rumeur se répandit au sein du service que j'enquêtais sur les activités plus ou moins légale d'un important membre de la communauté Cubaine certains flics qui se faisaient graisser la patte en vinrent à s'inquiéter de ce que je pourrais bien découvrir et c'est pour cette raison que ma tête ne tarda pas à se voir mise à prix. Bien sur ils ne se précipitèrent pas afin de me réduire au silence, après tout il était impératif que le tout n'éveille pas le moindre soupçon. Et puis l'horreur se manifesta trois ans plus tard, alors que je venais de célébrer mon 28 eme anniversaire … je me réveillai dans une chambre de l'Hôpital Général de New York et c'est alors qu'on m'annonça que ma femme et mes deux filles n'avaient pas survécu … rien n'aurait pu davantage m'anéantir. À partir de ce moment je ressentais une folle envie de me venger et de retrouver un à un les salauds qui avaient bien pu tremper dans cette affaire mais le manque d'éléments ne me permettait pas de trouver le moindre indice pouvant incriminer les coupables … ce qui ne pouvait que me faire royalement chier. Devant un tel état de fait et ne pouvant plus faire confiance à qui que ce soit je décidai de remettre ma démission et de foutre le camp de cette ville ou plus rien ne me retenait.

J'étais hanté par ces visions qui ne semblaient pas vouloir sortir de mon esprit et puis je savais que je ne pouvais pas en parler à qui que ce soit. Comment pouvais-je me permettre de parler de ce que je savais alors que j'en étais venu à me convaincre que je ne pouvais plus faire confiance à qui que ce soit ? De toute évidence la plus grande des sagesses dans un tel cas était de garder hermétiquement fermé ma grande gueule. Bien sur avec le temps j'appris à composer avec le tout, bien que je ne parvenais pas à oublier, et je finis par tenter de refaire ma vie à l'autre bout du pays … plus précisément à Fairview alors que je me trouvai un emploi d'inspecteur au sein du service de police local, il faut dire que mes références m'ouvraient plusieurs portes.

PRÉNOM | PSEUDO Marty/Tiny-Boy ÂGE 22 ans AVATAR Channing Tatum. COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM? Email de la part des admins de Bad Intentions FRÉQUENCE DE CONNEXION 5/7 AVIS/COMMENTAIRES Le forum me semble bien, très bien même. AUTRES écrire ici.